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Comme les écoles ont fermé et que les EMS limitent les visites au maximum, je propose que ceux qui veulent rester confinés pour se protéger le fassent, sans y contraindre autrui, et que ceux qui veulent simplement respecter les principes de précaution usuels et efficaces le fassent aussi.
1000 sur 8 millions, c’est 0,000125 % de la population, pour remettre les choses en perspective.
Dans les accidents d’avion, il y a, je suppose, plus de 90 % de décès. Si on ne dit que ça personne ne vole plus. Si on dit combien de vols crashent ou/et combien il y a de morts dans les accidents d’avion par rapport aux autres moyens de transport, l’impression change.
1 m ou 2 m de distance ?
Et quid des 15 mn d’exposition continue dans une distance inférieure à celle-là pour être contaminé ?
En quoi le fait de sortir dans la rue ou ailleurs, pour autant qu’une distance minimum soit respectée, serait-il dangereux ?
Est-on contagieux seulement lorsqu’on devient symptomatique (ce qu’on nous dit à l’heure actuelle) ? Si oui, c’est facile à gérer. Si non, pourquoi ne pas tester tout le monde ? Le prix des tests vs le montant de 10 milliards mis à disposition pour l’économie.
Des réponses officielles limpides, claires, basées sur des faits, aux questions ci-dessus seraient aidantes.
Je suis stupéfaite de l’acharnement d'une partie de la population à rester dans une position tout à fait paradoxale de soumission et de critiques simultanées des décisions officielles.
Ainsi que la position victimaire qui consiste à dire et à penser qu’on ne peut rien faire, ce qui est faux.
L’alcool médicinal tue le CoVid 19, sur les surfaces et sur la peau, après 1 mn de contact.
Quant à, outre les autres mesures possibles de renforcement de l'immunité de chacun, décrier la supplémentation vitaminique, qui est, au besoin, proposée et pratiquée en cabinet médical, par tout médecin qui se respecte, le faire (décrier la chose) atteste d'un déni des connaissances établies en matière de physiologie.
Par ailleurs, il va y avoir prochainement un traitement plus pointu que celui actuel, et ce serait vraiment bien de ne pas décimer l’économie d’ici que ce soit le cas car ce sont les plus démunis qui trinqueront.
Ni de plonger dans le désespoir ceux qui ont impérativement besoin de contacts sociaux pour survivre psychiquement.
Avec ma sympathie pour les personnes touchées, 0,000125 % seulement tout de même.
Demain, je reprendrai le chemin de mon travail, en voiture plutôt qu'en train et en bus car il me serait alors impossible d'être préservée. Je pourrais devenir potentiellement porteuse et donc contaminante pour autrui. Je rejoindrai la centaine de collègues qui travaillent dans le même centre médical que moi, où nous soignons des patients sans devenir malades nous-mêmes, parce que nous respectons les précautions d'usage en matière de maladies transmissibles et que nous les faisons respecter. Ce qui montre que c'est possible et ce qui conduit à penser que la propagation actuelle, rapide, du virus, est liée au non-respect des consignes de sécurité autres que celles de rester chez soi, à moins d'être malade.
Ainsi qu'au manque de restrictions par rapport à l'entrée dans notre pays, notamment par avion, et à la libre circulation de personnes depuis l'Italie, à laquelle le Conseil d'Etat valaisan a voulu mettre un terme sans pouvoir obtenir l'aval du Conseil fédéral. Dans ce contexte, empêcher toute réunion de plus de 50 personnes ne fait pas sens car c'est une mesure non ciblée. Prenez bien soin de vous, continuez à travailler si vous le pouvez, entretenez vos liens sociaux tout en respectant les consignes et... respirez sans céder à la panique.
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