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Violence et émotions


Le Covid nous a un peu volé nos vies.


Il est temps, pour moi, de retourner à mes activités préférentielles : la communication dans le domaine des relations humaines, du respect interpersonnel et face à toutes sortes de forme de vie.


Dans ce qui altère une communication bienveillante, il y a la violence : physique, psychologique ou, encore pire, perverse.


Nous ne sommes pas morcelés et tout ce qui touche au corps atteint bien sûr l’esprit alors que ce que nous éprouvons comme émotions influence notre physiologie et nos éventuels symptômes physiques, notre bien-être.


Rabaisser, attaquer avec des mots qui soit dénigrent soit effraient, la violence psychologique est largement méconnue, mal identifiée et, quand elle l’est, pas suffisamment prise en compte. Cette méconnaissance, résultant d’un déni individuel, relayé au niveau sociétal, aboutit à un manque de recherche de stratégies pour en sortir.


Il est inquiétant de constater que la violence perverse semble se répandre de plus en plus. Cette violence perverse, psychologique, a cela de particulier qu’elle est manipulatrice et recourt à l’intervention d’autrui pour nous atteindre. La personne qui exerce cette violence instrumentalise d’autres personnes, parfois des professionnels, d’autres fois des institutions, se positionnant comme victime, alors que la réelle victime perd pied, happée dans un maelström d’émotions intenses.


Comme le bon vin, en petite quantité les émotions donnent goût à la vie, alors qu’en devenant intenses, elles nous noient, nous privent de nos repères et capacités de réflexion et de réaction et il est alors très utile de pouvoir élaborer des stratégies pour pouvoir y échapper.

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